JeromeB a écrit:philB a écrit:C est le même principe qui fait que Tchernobyl superdangereuse par radioactuvité pour les Hommes est redevenu un paradis animal. Un loup vit au mieux 10 ans la bas. Il se sera reproduit et sera mort bien avant de développer un cancer.
Quant aux mutations et impact sur l environnement c est autre chose ....
J’ai comme un doute. Les mutations génétiques vont nécessairement affecter les animaux et en quelques années à manger de la nourriture contaminée les animaux ont de quoi souffrir.
Heureusement la zone de protection est très large donc tu as raison au global pour les animaux du coin c’est probablement favorable.
En revanche, il est même à parier, sans entrer dans un complotisme à 2 balles, que les animaux seront observés dans quelques années avec déformations génétiques, épigénétiques, graves qui affecteront probablement sensiblement et durablement, la vie sur place.
La tranquillité et le silence des lieux ne changent pas le caractères odieux et irréversibles des contaminations. Les pollutions sur la planète sont souvent très encrées et durablement installées, en lançant des traces sur plusieurs générations, chez les animaux. Chez l'homme, dans la mesure ou le cycle est plus long, nous aurons possiblement des surprises dans plus longtemps. Mais elles sont dans les tuyaux ...
Sabrina Krief (spécialiste des chimpanzés) avait noté que les individus qui vivaient en bordure des champs de maïs avaient les mêmes difformités, genre bec de lièvre, que les humains qui vivaient dans les villages locaux.
Normal. Les chimpanzés volaient aux humains voisins et mangeaient des épis, totalement contaminés par des pesticides désastreux.
Elle avait observé que le mal se transmettait. C'est donc un drame silencieux, établi sur plusieurs générations.