biodivmax a écrit: ..... donc si ils sont susceptibles de contaminer des poissons déjà installés. après, il s'agit de parasites bien adaptés à leur hôte, qui ne les tuent pas en général, et les poissons nouvellement contaminés seront seulement plus sensibles ensuite aux infections opportunistes, ce qui est quand même un problème.
Je suis totalement d'accord. J'avais fait des observations sur plaquettes avec mon frère, (y-a .... longtemps...nous étions jeunes, lui interne). On avait remarqué des choses surprenantes que lui, à l'époque voulait absolument éradiquer avec des bombes atomiques. Moi j'étais resté stoïque et je lui avais prouvé empiriquement que les poissons vivaient avec et en très bonne santé.
Mon analyse pragmatique est que les poissons pêchés dans le Lac qui après être passés dans les bidons, dans les cuves sur place, en poches oxygénées, en caisse par avion, acclimatés chez Eric ..... les plus faibles, les plus malades ou simplement les immunodéficients sont morts en cour de route.
Ceux que l'on acclimate sont biens et si les notres, chez nous vont bien, tout glisse.
biodivmax a écrit:La quarantaine est toujours une bonne idée, avec si possible un bain d'eau plus salée pour virer les copépodes, et un vermifuge pour le reste, le jeune préconisé par Eric Zeitoun servant à faire disparaître naturellement les flagélés ( si l'immunité des Tropheus est bonne, ce qui est aléatoire après ce qu'ils ont déjà vécu, et l'aléatoire c'est ce que j'appelle la chance).
Je suis complètement d'accord sur cette analyse mais j'observe que souvent, le traitement est plus fort de mal.
En traitant ainsi les nouveaux arrivants, ils sont affaiblis et nous réduisons énormément leur chance d'adaptation. J'ai déjà à peu près tout essayé et j'ai remarqué que le plus simple était le plus efficace.
En statistique, la chance c'est 1/1000. Quand on en est à 90%de résultat positif, j'appelle ça une bonne méthode d'adaptation même si elle est scientifiquement inadaptée.